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Chant runique du vide — Pierre Cendors

Trois parties jalonnent ce qu’il faut déjà entrevoir comme un voyage initiatique, une quête d’un lieu ou d’un état originel qui demande de se désabriter, de se déposséder des strates, des habits que nous arborons pour singulariser notre personnalité, que sont le langage, « ce fouissement verbeux », les leçons apprises (« Un peu d’ignorance pour que la connaissance devienne adulte »), le « déracinement visuel » des villes…

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Sur la mer…

Trois extraits de textes… Comme une énigme posée à la mer. Trois textes, trois mers différentes – la Bretagne au creux d’un coquillage de Julien Gracq; la mer d’Irlande sur la ligne presque parfaite de Maam-Cross à Unst, en passant par Iona de Pierre Cendors et  la Méditerranée d’Eugenio Montale pour laquelle toute terre émergée […]

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La bibliothèque est en feu…

Extrait de « La bibliothèque est en feu » de René Char. Des pages, comme celle-ci et beaucoup d’autres, nous accompagnent toute notre vie… Le livre peut disparaître, la bibliothèque brûler, le poète devenir amnésique : le poème est pulvérisé, la graine est semée dans l’opacité de l’air, dans l’ombre de la terre. Poète « est un métier de pointe ». Lecteur n’est pas un métier, il n’est que la navette qui file la trame d’un métier qui le dépasse…

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L’homme caché — Pierre Cendors

Je vous ai raconté comment j’ai découvert, par le plus grand des hasards, Pierre Cendors et son premier roman : L’homme caché. Maintenant que j’ai appâté l’auditoire, je ne peux plus me soustraire à en dire davantage, à argumenter ce que je n’ai fait qu’esquisser.

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