Epiphanie d’automne
A peine l’épi fané, les pies,
Sur le fil, singent les épingles. L’épicier,
Epieu poireau à la main, couve le raisin.
Epiphanie d’automne
A peine l’épi fané, les pies,
Sur le fil, singent les épingles. L’épicier,
Epieu poireau à la main, couve le raisin.
L’automne et ses révélations… Celle-ci m’enchante, tu penses bien.
Décidément, tu hantes un bien beau labyrinthe. Je devrais me faire moins rare, et visiter tes perspectives plus souvent. A bientôt, promis!
Eh bien ma foi ! quelle joie de te revoir te promener par ici ! Je suis tout à fait d’accord avec toi : tu devrais te faire moins rare… et dans ce labyrinthe et dans les arbres, privés dorénavant de tous leurs nids. Envisagerais-tu, tel un coucou automnal, de prendre des quartiers dans un nid nouveau ? Si c’est la cas (ce que je souhaite pour l’harmonie globale de la blogosphère), avises-en le vieux minotaure solitaire que je suis !
A bientôt, oui j’espère !!