Sur un poème de Paul Celan — Thierry Metz
Non, tu n’es pas rejoint,
tu retournes seulement dans tes pas
où quelqu’un, revenu d’une enfance,
voudrait te suivre. N’y parviens pas.
Non, tu n’es pas rejoint,
tu retournes seulement dans tes pas
où quelqu’un, revenu d’une enfance,
voudrait te suivre. N’y parviens pas.