La poésie n’existe pas — Le peintre vu par Eugenio Montale
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Les pages dans un courant d’air s’attacheront à recenser ce regard que porte l’écrivain à l’égard des peintres : Stéphane Lambert et Mark Rothko
Voici un texte proposé par Marianne Desroziers dans le cadre des Vases Communicants, vaste opération qui consiste, le premier vendredi de chaque mois, à échanger nos lieux d’écriture…
Deux œuvres se côtoient, s’interrogent l’une l’autre, se défient dans ce beau livre des Éditions Le bleu du ciel : des Poèmes en pensée
De la peinture de Guillaume Toumanian se dégage toujours quelque chose d’aqueux, une liquidité de la perception…
Avec son double titre Véniels / Escasenças la lecture peut prendre des chemins divergents : aveu de péchés véniels, blasons du corps féminins, ou instantanés du hasard…
Il ne suffit pas de prendre la posture de l’artiste pour faire chant avec le monde.
Abri. Quatre lettres si petites, si frêles, si ramassées, si étroites…
Carmen, récemment remariée, s’installe avec sa fille Ofélia chez son nouvel époux, le très autoritaire Vidal, capitaine de l’armée franquiste.
Alors que la jeune fille se fait difficilement à sa nouvelle vie, elle découvre près de la grande maison familiale un mystérieux labyrinthe. Pan, le gardien des lieux, une étrange créature magique et démoniaque, va lui révéler qu’elle n’est autre que la princesse disparue d’un royaume enchanté…
Dans le cadre de l’appel des Fanes de Carotte “Robot, trop humain”, j’avais écris l’édito que je reproduis ici et qui, il me semble, est tout à fait d’actualité.