Foyers
suie de l’âtre nue est la nuit semant l’ignescent timon d’hiver suis de l’hêtre nuée, l’ennui s’aimant, de lignes et sentiments divers suie de l’être muette d’envie aimante braise incandescente jusqu’à l’étincelle
suie de l’âtre nue est la nuit semant l’ignescent timon d’hiver suis de l’hêtre nuée, l’ennui s’aimant, de lignes et sentiments divers suie de l’être muette d’envie aimante braise incandescente jusqu’à l’étincelle
[Retrouvée dans mes archives cette introduction à Feue la Salamandre.] – C’est toujours par là que je commence. – … Je veux dire que c’est toujours à partir de ce silence très nourri que les histoires surprenantes prennent corps. Car enfin, que seraient les histoires s’il n’y avait pas ce soupçon de silence, cette fine […]
« Mal à la cendre, mal à la cendre… » Telle est la voix, qui en écho se perd – de minéraux en minéraux – de la salamandre, la salamandre…
Puisqu’il s’agit d’explorer ces labyrinthes enlacés et de faire sortir, par la lucarne, les choses qui, enfouies dedans, doivent franchir l’opacité des ces murs sinueux, je vous livrerai, de temps à autre, quelques uns de mes écrits. C’est un exercice affreux sur la pudeur qui accompagne cette publication : je ne suis pas poète, loin […]