Esquisses — Jean-François Billeter
« Nous nous sentons libres quand surgit en nous une idée, une émotion, un acte…»
Lecture d’Esquisses, de Jean-François Billeter
« Nous nous sentons libres quand surgit en nous une idée, une émotion, un acte…»
Lecture d’Esquisses, de Jean-François Billeter
Page dans un courant d’air : « L’éveil est une courbe silencieuse. Nul n’ignore, nul ne profère, nul n’escorte plus amer le chemin… »
Non, tu n’es pas rejoint,
tu retournes seulement dans tes pas
où quelqu’un, revenu d’une enfance,
voudrait te suivre. N’y parviens pas.
On voudrait, d’abord, se concilier l’aube, affermir le sol des tendresses, avant de se heurter à l’écorce lisse de la page, avant de pénétrer dans cette plaine sans abri.
« Celui qui garde ses rêves » est le parcours, sous forme d’anthologie et premières traductions, d’une œuvre intense, celle de Mah Chong-gi, entièrement tournée vers sa langue natale…
Pourquoi le saut des baleines est un magnifique plaidoyer pour rester à la surface des choses. Non pas un hymne à la superficialité, mais un appel à se maintenir dans la beauté de cet affleurement d’une réalité qui, in fine, nous échappe et à accepter simplement la part de mystère en demeurant à quia dans le monde.
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Les pages dans un courant d’air s’attacheront à recenser ce regard que porte l’écrivain à l’égard des peintres : Stéphane Lambert et Mark Rothko
Ce livre des éditions de la Baconnière, située à Genève, est le premier d’une série de trois ouvrages qui réunira les œuvres complètes d’un écrivain et poète passé inaperçu : Emanuel Carnevali.
Nous nous glisserons dans ce magnifique roman de Virginia Woolf : To the Lighthouse, publié en 1925 avec deux extraits (en anglais et en français) issus de la dernière partie intitulée Le phare…