Esquisses — Jean-François Billeter
« Nous nous sentons libres quand surgit en nous une idée, une émotion, un acte…»
Lecture d’Esquisses, de Jean-François Billeter
« Nous nous sentons libres quand surgit en nous une idée, une émotion, un acte…»
Lecture d’Esquisses, de Jean-François Billeter
Page dans un courant d’air : « L’éveil est une courbe silencieuse. Nul n’ignore, nul ne profère, nul n’escorte plus amer le chemin… »
Non, tu n’es pas rejoint,
tu retournes seulement dans tes pas
où quelqu’un, revenu d’une enfance,
voudrait te suivre. N’y parviens pas.
« Celui qui garde ses rêves » est le parcours, sous forme d’anthologie et premières traductions, d’une œuvre intense, celle de Mah Chong-gi, entièrement tournée vers sa langue natale…
Pourquoi le saut des baleines est un magnifique plaidoyer pour rester à la surface des choses. Non pas un hymne à la superficialité, mais un appel à se maintenir dans la beauté de cet affleurement d’une réalité qui, in fine, nous échappe et à accepter simplement la part de mystère en demeurant à quia dans le monde.
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Ce livre des éditions de la Baconnière, située à Genève, est le premier d’une série de trois ouvrages qui réunira les œuvres complètes d’un écrivain et poète passé inaperçu : Emanuel Carnevali.
Nous nous glisserons dans ce magnifique roman de Virginia Woolf : To the Lighthouse, publié en 1925 avec deux extraits (en anglais et en français) issus de la dernière partie intitulée Le phare…
Dans les prochaines pages dans un courant d’air, je m’attacherai à ce regard perçant que porte l’écrivain à l’égard des peintres, ces autres descripteurs d’autres réalités…
Ce court recueil, des coquelicots de Samantha Barendson partage avec la fleur bien d’autres similitudes que sa magnifique couverture rouge illustrée par Aline Coton…