Foyers suie de l’âtre nue est la nuit semant l’ignescent timon d’hiver suis de l’hêtre nuée, l’ennui s’aimant, de lignes et sentiments divers suie de l’être muette d’envie aimante braise incandescente jusqu’à l’étincelle Partager :FacebookTwitterGoogleTumblrLinkedInPlusRedditPinterestPocketImprimerE-mailWordPress:J'aime chargement… Une bif(f)urcation est toujours possible Feue la salamandre — poèmes Au palais audacieux — Antilipogramme Cerf volant