La poésie n’existe pas — Le peintre vu par Eugenio Montale
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Eugenio Montale se moque, non sans une certaine tendresse, des peintres de son temps qui sont aussi les peintres de toujours.
Penser sans rupture minime, sans chausse-trape dans la pensée, sans l’un de ces escamotages subits…
« La vérité de la littérature serait dans l’erreur de l’infini. Le monde où nous vivons et tel que nous le vivons est heureusement borné. Il nous suffit de quelques pas pour sortir de notre chambre, de quelques années pour sortir de notre vie. Mais supposons que, dans cet étroit espace, soudain obscur, soudain […]
Écrites par Sei Shônagon il y a un peu plus de mille ans, ces Notes de chevets, ces sôshi sont les écrits intimes, le journal quotidien de cette dame d’honneur au service d’une princesse. C’est une lecture étonnante mais savoureuse qu’il est préférable de prendre par petites bouchées, comme des gourmandises.
Comment parler de W ou le souvenir d’enfance de Georges Perec sans en révéler l’essentiel secret. Cet essentiel qu’il faut découvrir par soi-même au cours de la lecture, ce secret qui est l’intersection centrale du livre et qui par définition est intraduisible, intransmissible.
Autobiographie apocryphe et picaresque, Stéphane Audeguy joue avec la frontière ténue qui sépare la fiction et l’Histoire, sa fiction et le livre des Confessions.